HISTOIRES DE CONFINEMENT - EPHAD de Vaulx Vraucourt
QUEL EST VOTRE RESSENTI FACE AU CONFINEMENT ?
Femme de Gendarme : Je ressens la même impression que quand nous vivions à Berlin Est. Chacun avait peur de l'autre, les échanges étaient réduits au plus strict minimum. Nous ressentions une angoisse.
Mme B : Heureusement, le beau temps nous permets de sortir, de respirer avec le masque. Nous étouffons moralement et physiquement - avec ce masque.
Mme T : Le personnel est souriant et patient mais parfois, je porte -des coups de gueule- Je ne suis plus libre.
Mme B : Le téléphone, la visio, nous permettent de garder contact avec la famille mais la présence physique nous manque cruellement.
Mme X : Je n'ai pas peur d'attraper le virus, je suis prête à partir. Mais sans revoir mes enfants, ce sera trop difficile. J'aimerai être accompagnée des miens pour le grand départ.
M : On ne se sent pas abandonné, le personnel prend soin de nous, se préoccupe de notre équilibre.
Mais manger seul dans sa chambre, on en perd l'appétit.
Mme M : Je n'ai plus la visite hebdomadaire de ma fille... j'en perds l'habitude de parler.
Mme J : Mon fils me manque tant.
Femme de Gendarme : Je ressens la même impression que quand nous vivions à Berlin Est. Chacun avait peur de l'autre, les échanges étaient réduits au plus strict minimum. Nous ressentions une angoisse.
Mme B : Heureusement, le beau temps nous permets de sortir, de respirer avec le masque. Nous étouffons moralement et physiquement - avec ce masque.
Mme T : Le personnel est souriant et patient mais parfois, je porte -des coups de gueule- Je ne suis plus libre.
Mme B : Le téléphone, la visio, nous permettent de garder contact avec la famille mais la présence physique nous manque cruellement.
Mme X : Je n'ai pas peur d'attraper le virus, je suis prête à partir. Mais sans revoir mes enfants, ce sera trop difficile. J'aimerai être accompagnée des miens pour le grand départ.
M : On ne se sent pas abandonné, le personnel prend soin de nous, se préoccupe de notre équilibre.
Mais manger seul dans sa chambre, on en perd l'appétit.
Mme M : Je n'ai plus la visite hebdomadaire de ma fille... j'en perds l'habitude de parler.
Mme J : Mon fils me manque tant.
Merci pour ces paroles touchantes
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